Au Pays des arbres, une petite fille, serrée dans un corset de bois devenu trop étroit, ne peut plus grandir. Il lui en faudrait un nouveau, mais un bûcheron solitaire a coupé tous les arbres. Tous sauf un.

   L'enfant est prête à tout pour défendre sa vie et sa différence.

   Le bûcheron, solitaire, bourru, arc-bouté à son passé, s’obstine.

   “La Présence”, figure mystérieuse, sorte de passeur, conte.

        Rythmée et inventive, jouant sans esbroufe et sans mièvrerie du merveilleux, la mise en scène de Mariana Lézin fait vivre à plein régime la fable de S. Jaubertie.

       Un univers magique, “à la” Tim Burton ; textes ciselés, décor animé d’images holographiques, musiques  jouées en direct.

        Dans cette histoire d'une rencontre hors du réel, il est question d'altérité, d'environnement, de racines, du temps qui passe.